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DES MATIERES.

traitans. Ce qu’on y pourroit substituer, II. 12, 13. L’impôt par tête est plus naturel à la servitude : celui sur la marchandise est plus naturel à la liberté, II. 18 & suiv. Pourquoi les Anglois en supportent de si énormes, II. 224, 225. C’est une absurdité que de dire, que plus on est chargé d’impôts, plus on se met en état de les payer, III. 77.

Impuissance. Au bout de quel temps on doit permettre à une femme de répudier son mari, qui ne peut pas consommer son mariage, III. 432.

Impureté. Comment ce crime doit être puni. Dans quelle classe il doit être rangé, I. 386.

Inceste. Raisons de l’horreur que cause ce crime, dans ses différens degrés, à tous les peuples, III. 216 & suiv.

Incidens. Ceux des procès, tant civils que criminels, se décidoient par la voix du combat judiciaire, III. 318 & suiv.

Incontinence. Ne suit pas les lois de la nature : elle les viole, II. 113, 114.

Incontinence publique. Est une suite du luxe, I. 219.

Indemnité. Est due aux particuliers, quand on prend sur leurs fonds pour bâtir un édifice public ou pour faire un grand chemin, III. 225, 226.

Indemnité (Droit d’). Son utilité. La France lui doit une partie de sa prospérité : il faudroit encore y augmenter ce droit, III. 172, 173.

Indes. On s’y trouve très-bien du gouvernement des femmes. Cas où on leur défere la couronne, à l’exclusion des hommes, I. 223. Pourquoi les derviches y sont en si grand nombre, II. 43. Extrême lubricité des femmes indiennes. Causes de ce désordre, II. 110, 111. Caracteres des différens peuples indiens, II. 194, 195. Pourquoi on n’y a jamais commercé, & on n’y commercera jamais qu’avec de l’argent, II. 270 & suiv. 282. Comment, & par où le commerce s’y faisoit autrefois, II. 271 & suiv. Pourquoi les navires indiens étoient moins vîtes que ceux des Grecs & des Romains, II. 284, 285. Comment, & par où on y faisoit le commerce après Alexandre, II. 304 & suiv. 335 & suiv. Les anciens les croyoient jointes à l’Afrique par