Page:Montesquieu Esprit des Lois 1777 Garnier 4.djvu/467

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
449
DES MATIERES.

I. 315 & suiv. Dans quel cas peut être unie au pouvoir législatif, I. 337 & suiv.

Juifs (anciens). Loi qui maintenoit l’égalité entr’eux, I. 89. Quel étoit l’objet de leurs lois, I. 310. Leurs lois sur la lepre étoient tirées de la pratique des Egyptiens, II. 49. Leurs lois sur la lepre auroient dû nous servir de modele pour arrêter la communication du mal vénérien, II. 51. La férocité de leur caractere a quelquefois obligé Moïse de s’écarter, dans ses lois, de la loi naturelle, II. 88. Comment ceux qui avoient plusieurs femmes devoient se comporter avec elles, II. 105. Etendue & durée de leur commerce, II. 281, 282. Leur religion encourageoit la propagation, III. 107. Pourquoi mirent leurs asiles dans les villes, plutôt que dans leurs tabernacles ou dans leur temple, III. 168. Pourquoi avoient consacré une certaine famille au sacerdoce, III. 170. Ce fut une stupidité de leur part, de ne pas vouloir se défendre contre leurs ennemis un jour du sabbat, III. 204.

Juifs (modernes). Chassés de France sous un faux prétexte, fondé sur la haine publique, III. 390. Pourquoi ont fait seuls le commerce en Europe dans les temps de barbarie : traitemens injustes & cruels qu’ils ont essuyés : sont inventeurs des lettres de change, II. 342 & suiv. L’ordonnance qui, en 1745, les chassoit de Moscovie, prouve que cet état ne peut cesser d’être despotique, III. 164. Réfutation du raisonnement qu’ils emploient pour persister dans leur aveuglement, III. 184. L’inquisition commet une très-grande injustice en les persécutant, ibid & 186. Les inquisiteurs les persécutent plutôt comme leurs propres ennemis, que comme ennemis de la religion, III. 187. La Gaule méridionale étoit regardée comme leur prostibule : leur puissance empêcha les lois des Wisigoths de s’y établir, III. 285, 286. Traités cruellement par les Wisigoths, III. 437.

Julia (la loi). Avoit rendu le crime de lese-majesté arbitraire, I. 398, 399.

Julien l’apostat. Par une fausse combinaison, causa