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DES MATIERES.

férentes, suivant les différens besoins, dans les différens climats, II. 48, 49. C’est elles, plutôt que les lois, qui gouvernent les peuples chez qui le partage des terres n’a pas lieu, II. 152. Gouvernent les hommes concurremment avec le climat, la religion, les lois, &c. de là naît l’esprit général d’une nation, II. 189. Donnoient le ton à Lacédémone, ibid. On ne doit point changer celles d’un état despotique, II. 198, 199. Différences entre leurs effets & ceux des lois, ibid. Maniere de changer celles d’une nation, II. 200 & suiv. Ce que c’est que les mœurs des nations, II. 203 & suiv. Différence entre les mœurs & les lois, II. 203. Différence entre les mœurs & les manieres, ibid. Combien elles influent sur les lois, II. 214 & suiv. Comment celles d’une nation peuvent être formées par les lois, II. 219 & suiv. Le commerce les adoucit & les corrompt, II. 238, 239. Pour les conserver, il ne faut pas renverser la nature, de laquelle elles tirent leur origine, III. 197. La pureté des mœurs, que les parens doivent inspirer à leurs enfans, est la source de la prohibition des mariages entre proches, III. 217 & suiv. Cas où les lois en dépendent, III. 222 & suiv. De celles qui étoient relatives aux combats, III. 324 & suiv. Description de celles de la France, lors de la réformation des coutumes, III. 405.

Mogol. Comment il s’assure la couronne, I. 125. Ne reçoit aucune requête, si elle n’est accompagnée d’un présent, I. 135. Comment la fraude est punie dans ses états, II. 15.

Moines. Sont attachés à leur ordre par l’endroit qui le leur rend insupportable, I. 83. Cause de la dureté de leur caractere, I. 168. L’institut de quelques-uns est ridicule, si le poisson est, comme on le croit, utile à la génération, III. 79. Sont une nation paresseuse, & qui entretenoit en Angleterre la paresse des autres : chassés d’Angleterre pas Henri VIII. III. 121. C’est eux qui ont formé l’inquisition, III. 211. Maximes injustes qu’ils y ont introduites, III. 212. N’ont fait que copier, pour l’inquisition contre les Juifs, les lois faites autrefois par les