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TABLE


Néron. Pourquoi ne voulut pas faire les fonctions de juge, I. 161. Loi adroite & utile de cet empereurs, II. 10. Dans les beaux jours de son empire, il voulut détruire les fermiers & les traitans, II. 28. Comment il éluda de faire une loi touchant les affranchis, II. 90.

Neveux. Sont regardés aux Indes comme les enfans de leurs oncles. De là le mariage entre le beau-frere et la belle-sœur y est permis, III. 223.

Nitard. Témoignage que cet historien, témoin oculaire, nous rend du regne de Louis le débonnaire, IV. 174, 175.

Nobles. Sont l’objet de l’envie dans l’aristocratie, I. 26. Quand ils sont en grand nombre dans une démocratie, police qu’ils doivent mettre dans le gouvernement, ibid. Répriment facilement le peuple dans une aristocratie, & se répriment difficilement eux-mêmes, I. 45. Doivent être populaires dans une démocratie, I. 103. Doivent être tous égaux dans une aristocratie, I. 109, 110. Ne doivent dans une aristocratie, être ni trop pauvres, ni trop riches : moyens de prévenir ces deux excès, ibid. — N’y doivent point avoir de contestations, I. 110. Comment punis autrefois en France, I. 169. Quelle est leur unique dépense à Venise, I. 100. Quelle part ils doivent avoir dans un état libre aux trois pouvoirs, I. 320. Doivent, dans un état libre, être jugés par leurs pairs, I. 326, 327. Cas où, dans un état libre, ils doivent être juges des citoyens de tout étage, I. 327, 328.

Noblesse. Doit naturellement, dans une monarchie, être dépositaire du pouvoir intermédiaire, I. 31, 32. Son ignorance l’empêche, dans une monarchie, de pouvoir être dépositaire des lois, I. 34. Sa profession est la guerre. L’honneur l’y entraîne ; l’honneur l’en arrache, I. 65. Doit être soutenue dans une monarchie : moyens d’y réussir, I. 111, 112. Doit seule posséder les fiefs dans une monarchie. Ses provileges ne doivent point passer au peuple, ibid. Causes des différences dans les partages des biens qui lui sont destinés, I. 147. Est toujours