Page:Montesquieu Esprit des Lois 1777 Garnier 4.djvu/527

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
509
DES MATIÈRES.


Papirius. Son crime, qui ne doit pas être confondu avec celui de Plautius, fut utile à la liberté, I. 147.

Parage. Quand il a commencé à s’établir en matiere de fiefs, IV. 195, 196.

Paraguay. Sagesse des lois que les jésuites y ont établies, I. 73. Pourquoi les peuples y sont si fort attachés à la religion chrétienne, tandis que les autres sauvages le sont si peu à la leur, III. 166, 167.

Paresse. Celle d’une nation vient de son orgueil, II. 193, 194. Dédommage les peuples des maux que leur fait souffrir le pouvoir arbitraire, II. 4.

Paresse de l’ame. Sa cause est son effet, III. 142.

Parlement. Ne devroit jamais frapper ni sur la juridiction des seigneurs, ni sur la juridiction ecclésiastique, I. 32. Il en faut dans une monarchie, I. 34, 35. Plus il délibere sur les ordres du prince, mieux il lui obéit, I. 113. A souvent, par sa fermeté, préservé le royaume de sa chute, I. 114. Son attachement aux loi est la sureté du prince, dans les mouvemens de la monarchie, I. 115, 116. La maniere de prononcer des enquêtes, dans le temps de leur création, n’étoit pas la même que celle de la grand’chambre : pourquoi, III. 367. Ses jugemens avoient autrefois plus de rapport à l’ordre politique, qu’à l’ordre civil : quand & comment il descendit dans le détail civil, III. 387, 388. Rendu sédentaire, il fut divisé en plusieurs classes, ibid. A réformé les abus intolérables de la juridiction ecclésiastique, III. 390, 391. A mis, par un arrêt, des bornes à la cupidité des ecclésiastiques, III. 392. Voyez Corps législatif.

Paroles. Quand sont crimes, & quand ne le sont pas, I. 400 & suiv.

Parricide. Quelle étoit leur peine, du temps de Henri I. III. 374.

Partage des biens. Est réglé par les seules lois civiles ou politiques, III. 200 & suiv.

Partage des terres. Quand, & comment doit se faire : précautions nécessaires pour en maintenir l’égalité, I. 88 & suiv. 91. Celui que fit Romulus est la source de toutes les lois romaines sur les successions, III.