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TABLE

seuls des tributs dans les commencemens de la monarchie françoise : traits d’histoire & passages qui le prouvent, IV. 25 & suiv. Quelles étoient leurs charges dans la monarchie des Francs, IV. 30 & suiv. Ce n’est point de leur police générale que dérive ce qu’on appelloit autrefois dans la monarchie census ou cens : ce n’est point de ce cens chimérique que dérivent les droits des seigneurs : preuves, IV. 40 & suiv. Ceux qui, dans la domination françoise étoient libres, marchoient à la guerre sous les comtes, IV. 47. Leurs usages sur l’usure, D. 297 & suiv. Voyez Droit romain. Lois romaines. Rome.

Romans de chevalerie. Leur origine, IV. 325.

Rome ancienne. Une des principales causes de sa ruine fut de n’avoit pas fixé le nombre des citoyens qui devoient former les assemblées, I. 17. Tableau raccourci des différentes révolutions qu’elle a essuyées, ibid. Pourquoi on s’y détermina si difficilement à élever les Plébéiens aux grandes charges, I. 19. Les suffrages secrets furent une des grands causes de sa chute, I. 23, 24. Sagesse de sa constitution, I. 25. Comment défendoit son aristocratie contre le peuple, I. 28. Utilité de ses dictateurs, ibid. Pourquoi ne put rester libre après Sylla, I. 41. Source de ses dépenses publiques, I. 85. Par qui la censure y étoit exercée, I. 100. Loi funeste qui y fut établie par les décemvirs, I. 104. Sagesse de sa conduite pendant qu’elle inclina vers l’aristocratie, I. 105. Est admirable dans l’établissement de ses censeurs, I. 108. Pourquoi, sous les empereurs, les magistratures y furent distinguées des emplois militaires, I. 141. Combien les lois y influoient dans les jugemens, I. 154, 155. Comment les lois y mirent un frein à la cupidité qui auroit pu diriger les jugemens du peuple, I. 158. Exemples de l’excès du luxe qui s’y introduisit, I. 198. Comment les institutions y changerent avec le gouvernement, I. 213, 214. Les femmes y étoient dans une perpétuelle tutelle. Cet usage fut abrogé : pourquoi, I. 215, 216. La crainte de Carthage l’affermit, I. 234. Quand elle fut corrompue, on chercha en vain un corps dans lequel on pût trouver des juges integres,