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TABLE


Traitans. Leur portrait, I. 370 & suiv. 373. Comment regardés autrefois en France : danger qu’il y a de leur donner trop de crédit, I. 370 & suiv. Leur injustice détermina Publius Rutilius à quitter Rome, I. 372. On ne doit jamais leur confier les jugemens, I. 373. Les impôts qui donnent occasion au peuple de frauder, enrichissent les traitans, ruinent le peuple & perdent l’état, II. 12. Tout est perdu lorsque leur profession qui ne doit être que lucrative, vient à être honorée, II. 29, 30. Les richesses doivent être leur unique récompense, ibid.

Traités. Ceux que les princes font par force sont aussi obligatoires que ceux qu’ils font de bon gré, III. 233, 234.

Traîtres. Comment étoient punis chez les Germains, IV. 57, 58.

Tranquillité des citoyens. Comment les crimes qui la troublent doivent être punis, I. 387, 388.

Transmigration. Causes & effets de celles de différens peuples, II. 142, 143.

Transpiration. Son abondance dans les pays chauds y rend l’eau d’un usage admirable, II. 46.

Travail. On peut par de bonnes lois faire faire les travaux les plus rudes à des hommes libres, & les rendre heureux, II. 73, 74. Les pays qui par leurs productions fournissent du travail à un plus grand nombre d’hommes, sont plus peuplés que les autres, III. 80, 81. Est le moyen qu’un état bien policé emploie pour le soulagement des pauvres, III. 119.

Trésors. Il n’y a jamais dans une monarchie que le prince qui puisse en avoir un, II. 252. En les offrant à Dieu, nous prouvons que nous estimons les richesses qu’il veut que nous méprisons, III. 175. Pourquoi sous les rois de la premiere race, celui du roi étoit regardé comme nécessaire à la monarchie, IV. 8.

Tribunal domestique. De qui il étoit composé à Rome. Quelles matieres, quelles personnes étoient de sa compétence ; & quelles peines il infligeoit, I. 211 & suiv. Quand & pourquoi fut aboli, I. 213, 214.