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Page:Montesquiou - Les Chauves-souris, 1907.djvu/397

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Et le tout finira dans un chant de compile
Ou toute la tendresse humaine se déplie,
Qui fera se répandre, au-dessus de vos jours,
Comme une multitude implorante d’amours,
Et que vous entendrez, même en songe, toujours !