Page:Montesquiou - Les Perles rouges, 1899.djvu/168

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Il porte un sceptre en fleurs, d’un air de Séraphin ;
Son décès discuté le fait vivre sans fin ;
Son sort, qui semblait dur, un mystère l’élide.

Son trépas, à jamais demeure partiel.
C’est comme un Papillon qui fuit sa chrysalide,
Et dont le doux vol bleu se fond avec le Ciel.