Ô sort majestueux ! — Ô champêtre destin !
Le véritable Roi ! — l’humble Roi de la fève !
L’un couronné d’orgueil — l’autre ceint du seul rêve.
Je vois s’emplir leur verre, au cours de leur festin :
L’un savoure la paix par qui le deuil s’oublie…
L’autre épuise l’ennui, l’amertume et la lie.