De ta blessure ouverte où frissonne le foin
Comme un revenez-y de soufre et de benjoin
Perpètre une senteur tendre et nauséabonde.
Lulli pleure en dièse, et Mozart en bémol ;
Et sur le tain lépreux de ton eau moribonde,
Meurt nostalgiquement l’ombre d’un tournesol.