Page:Montholon - Souvenirs de Sainte-Hélène, 1901.pdf/162

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
 Les corrections sont expliquées en page de discussion

L’Empereur s’en dégoûta en raison de la monotonie de ce bois de gommiers.


Napoléon poussant la charrue.

Quelquefois on allait voir Mme Bertrand qui occupait alors une petite maison distante d’un mille de Longwood. Pour y aller, il fallait passer par le corps de garde et sur le chemin assez étroit bordé du précipice. C’était vraiment effrayant et dangereux au train de ces six chevaux, mais nous n’y pensions pas.

Le dimanche, M. et Mme Bertrand venaient dîner à Longwood et l’Empereur était toujours fort aimable pour elle. Le grand maréchal y dînait plus souvent.