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Page:Montolieu - Caroline de Lichtfield, tome 1, 1815.djvu/22

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préface

Falkenberg, et surtout Agathoclès, auroient dû la faire oublier. Mais puisqu’on veut bien l’aimer encore, la voilà mieux soignée, et plus digne des bontés qu’on a pour elle. Je n’y ai d’ailleurs rien changé, puisqu’elle a plu telle qu’elle est ; mais j’ai corrigé avec grand soin les négligences de style et la musique des trois romances. Celle de la ronde villageoise de Justin n’avoit pas paru ; les deux autres airs sont assez bien adaptés aux paroles. Je n’aurois pu faire mieux, et je les ai seulement un peu rajeunis. J’en aurois sûrement trouvé de beaucoup plus jolis dans la foule de ceux qu’on a bien voulu composer sur mes paroles ; mais un choix auroit été difficile et désobligeant : c’est le seul motif qui m’ait décidée à préférer ceux que