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Mais, si vers vous, parfois, la méchanceté louche,
Ne vous alarmez pas ; mon invisible main
Saura bien refouler le poison dans la bouche
D’une vipère immonde et d’un serpent vilain.
Reconnaissant l’effort de ces haines pieuses,
Qui, jadis, en ma vie auront semé l’écueil,
J’embrouillerai le jeu des commères fielleuses…
Et je m’en moquerai, du fond de mon cercueil.
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