Aller au contenu

Page:Montreuil - Les Rêves morts, 1927 (première édition).djvu/45

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

Mais, si vers vous, parfois, la méchanceté louche,
Ne vous alarmez pas ; mon invisible main
Saura bien refouler le poison dans la bouche
D’une vipère immonde et d’un serpent vilain.
Reconnaissant l’effort de ces haines pieuses,
Qui, jadis, en ma vie auront semé l’écueil,
J’embrouillerai le jeu des commères fielleuses…
Et je m’en moquerai, du fond de mon cercueil.
X
Page trente-neuf