Page:Moréas - Autant en emporte le vent, 1893.djvu/19

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.




III



Les courlis dans les roseaux !
(Faut-il que je vous en parle,
Des courlis dans les roseaux ?)
O vous joli’ Fée des eaux.

Le porcher et les pourceaux !
(Faut-il que je vous en parle,
Du porcher et des pourceaux ?)
O vous joli’ Fée des eaux.