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il s’agit d’un malheur et j’hésite à parler.
si le ciel le décrète, à quoi bon le celer ?
comme part de ta dot, je te suivis, ô reine,
de ta Sparte natale au palais de Mycène.
mon père t’a nourri dès tes plus jeunes ans.
que ne ferais-je pas pour toi, pour tes enfants ?
vieillard, tu m’as toujours fidèlement servie.