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Page:Moréas - Iphigénie, 1910.djvu/147

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SCÈNE V

LES MÊMES, moins AGAMEMNON




CLYTEMNESTRE

O ma fille, ô ma fille, ô mon doux réconfort !
Ton père t’abandonne et te livre à la mort !

IPHIGÉNIE

Hélas ! injustes coups du destin qui m’accable !
Pour moi s’éteint déjà la lumière adorable
        De l’éclatant soleil !