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Et que je me dérobe, ô ma mère, à ses yeux.
Non, reste, mon enfant : touché de ta misère,
Il veut te secourir contre ton propre père.
O ma mère, il approche !… Ah ! Lorsque je le vois,
Hélas ! pour la première et la dernière fois,
Pourrai-je supporter qu’à cette aimable vue
La honte avant le fer cruellement me tue ?
Ma fille, écoute-moi : refoule dans ton cœur
Ce fier emportement de ta belle pudeur.
Songe quels maux le ciel en ce moment nous trame.