Page:Moréas - Iphigénie, 1910.djvu/170

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languit-elle déjà ? La verra-t-on céder !
Non, avec plus d’ardeur je l’avais poursuivie…
que ce vieux serviteur me mène sans tarder
a l’autel où m’attend et la mort et la vie.

CLYTEMNESTRE


ô mon enfant, tu pars !

IPHIGÉNIE


ma mère, pour jamais.

CLYTEMNESTRE


tu me quittes, hélas !

IPHIGÉNIE


et tout ce que j’aimais.

CLYTEMNESTRE


ne m’abandonne pas.