Page:Moréas - Iphigénie, 1910.djvu/36

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LE VIEILLARD

Je ne te lâche point.

MÉNÉLAS

Je ne te lâche point. Eh ! Faut-il que je brise
Du sceptre que voici, vieillard, ta tête grise ?

LE VIEILLARD

Mourant pour la vertu, je mourrai plein d’honneur.
Frappe.

MÉNÉLAS

Frappe. Je n’aime pas l’esclave beau parleur.
Retiens ta langue.