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Page:Moréas - Iphigénie, 1910.djvu/73

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IPHIGÉNIE


sois à moi maintenant, laisse là tes soucis.
Allons, regarde-moi sans froncer les sourcils.

AGAMEMNON


ma fille, assurément ta présence m’est chère
autant qu’elle le doit.

IPHIGÉNIE


mais tu pleures, mon père !

AGAMEMNON


le jour est déjà proche où tu vas nous quitter.

IPHIGÉNIE


père chéri, que sais-je ?