Cette page a été validée par deux contributeurs.
XV
Que je suis las de toi, Paris, et de l’automne !
Que je languis souvent
De voir le champ qui ploie et la mer qui moutonne
Au souffle d’un bon vent !
Que je suis las de toi, Paris, et de l’automne !
Que je languis souvent
De voir le champ qui ploie et la mer qui moutonne
Au souffle d’un bon vent !