Page:Moréas - Les Stances, 1905.djvu/169

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

IV


Encor sur le pavé sonne mon pas nocturne ;
Ô Paris, tu me vois marcher
À l’heure où l’on entend, dans l’ombre taciturne,
La charrette du maraîcher.