Page:Moréas - Les Stances, 1905.djvu/181

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

X


Puisqu’ainsi je m’emporte au-dessus de la tourbe
Des rancœurs, des douceurs,
Que mon esprit encor peut imprimer leur courbe
Aux fuseaux des trois sœurs ;