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Page:Moréas - Les Stances, 1905.djvu/183

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XI


Bien qu’ainsi tu te couronnes
D’une écume au goût amer,
Étang, qui, pâle, frissonnes,
Tu n’es pas encor la mer.

Non, c’est la ligne menue
De ce sombre azur là-bas
Qui mon âme a seule émue,
Mes yeux ne la quittent pas ;