Page:Moréas - Les Stances, 1905.djvu/20

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Ô mer, ô tristes flots, saurez-vous, dans vos bruits,
Qui viendront expirer sur les sables sauvages,
Bercer jusqu’à la mort mon cœur, et ses ennuis
Qui ne se plaisent plus qu’aux beautés des naufrages ?