Page:Moréas - Les Stances, 1905.djvu/44

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.


Muse, que sur mon front tu te viennes pencher
En me montrant tes yeux qui sont mon plus doux charme
Je saisirai la lyre à l’instar de l’archer
Qui marche sur les morts tout en bandant son arme.