Cette page a été validée par deux contributeurs.
II
Je songe, chaque fois que le dégoût m’accable
D’un retour importun,
Aux pâles frêles lys qui poussent dans le sable
Et que nourrit l’embrun,
Je songe, chaque fois que le dégoût m’accable
D’un retour importun,
Aux pâles frêles lys qui poussent dans le sable
Et que nourrit l’embrun,