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Page:Moréas - Les Stances, 3-6e livres, 1901.djvu/23

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III Me voici seul enfin, tel que je devais Têlre : Les jours sont révolus. Ces dévouements couverts que tu faisais paraître Ne me surprendront plus. Le mal que tu m*as fait et ton affreux délire Et ces pièges maudits. Depuis longtemps déjà les cordes de la lyre Me les avaient prédits.

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