Page:Moréas - Les Stances, 3-6e livres, 1901.djvu/30

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— 20 — L’étoile à rhorizon, le phare sur le môle, La coupe au cristal fin, Que j’ai jetée ainsi par-dessus mon épaule. Toute pleine de vin. Et chacun de mes jours, tels qu^une fleur qui passe Sur Tonde et disparaît : Dans mon destin comment sauraient-ils trouver place. Cet espoir, ce regret ?

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