Page:Moréas - Les Stances, 3-6e livres, 1901.djvu/37

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

Belle lune d’argent, j’aime à te voir briller Sur les mâts inégaux d’un port plein de paresse, Et je rêve bien mieux quand ton rayon caresse, Dans un vieux parc, le marbre où je viens m’appuyer.

VjOOQ IC