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Page:Moréas - Les Stances, 3-6e livres, 1901.djvu/41

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Xll toi qui sur mes jours de tristesse et d’épreuve Seule reluis encor. Comme un ciel étoile qui dans la nuit d’un fleuve Brise ses flèches d’or, Aimable Poésie, enveloppe mon âme D’un subtil élément : Que je devienne l’eau, la tempête et la flamme, La feuille et le sarment ;

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