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XIII Je me compare aux morts, à la source tarie, A Tobscur horizon, A la fleiir eflfeuillée, à la feuille pourrie Sur un pâle gazon ; A l’arbre qu’on abat dans un bois sans verdure Pour former un cercueil. Aux brouillards de l’hiver, à toute la nature De tristesse et de deuil !
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