Page:Moréas - Les Stances, 3-6e livres, 1901.djvu/52

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

— 42 — Et puisque le laurier se flétrit sur mes tempes Et tombe grain à grain, Sur ma tête fatale emmêle et tords les hampes Du pâle lys marin.

VjOOQ IC