Aller au contenu

Page:Moréas - Les Stances, 3-6e livres, 1901.djvu/73

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

XIII Je te sens sur mes yeux, lune, lune brillante Dans cette nuit d’été ; Mon cœur de tes rayons distille l’attrayante Et froide volupté.

VjOOQ IC