Page:Moréas - Trois Contes, 1921.djvu/23

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Frédéric était demeuré bon gentilhomme malgré ses revers de fortune : ils permirent donc à leur sœur de se marier avec lui.

Ainsi Frédéric se vit marié avec la femme qu’il avait tant aimée, et en même temps fort riche. Il devint moins prodigue qu’auparavant, et il passa sa vie avec Monna Jeanne, heureux et joyeux.