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Je me mis à lui raconter la conversion de certains ouvriers qui avaient travaillé dans les chantiers et dont il avait entendu parlé comme étant de vrais vauriens.

François Béland mourut en bon chrétien. Il n’a pu recevoir les sacrements de l’église, mais il était trop repentant, pour que Dieu, dans sa sainte miséricorde, ne lui ait pas pardonné ses crimes .................... ............................................................

Le père Michel pleurait en achevant son récit ; je dois avouer que son auditoire n’était pas moins ému que lui.