Page:Morissette - Le fratricide, 1884.djvu/148

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ÉPILOGUE.


Il ne me reste que peu de chose à dire, maintenant, pour terminer ce récit. Je ne crois pas devoir raconter ici la douleur de la malheureuse Alexina.

Depuis son union à Arthur, elle n’avait éprouvé que du bonheur et voilà que la mort le lui enlevait encore jeune et au moment où l’avenir semblait leur promettre un accroissement de bonheur.

La pauvre Alexina eut voulu mourir avec son époux, mais elle était chrétienne et mère, et tout en ressentant par la mort