Page:Morissette - Le fratricide, 1884.djvu/17

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gisait alors dans cette masure, fit le récit de sa vie.

Ce qu’il a dit, je vais le rapporter à mes lecteurs, aussi fidèlement que possible.

Avant de commencer mon récit, je dirai à ceux qui veulent bien me lire, que Pierre Julien est mort en bon chrétien, regrettant sincèrement les crimes qu’il avait commis et en en demandant pardon à Dieu.


FIN DU PROLOGUE.