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LE DOCTEUR-NOIR

S’il a besoin d’aller aux lieux d’aisances, il frappera à la porte, afin que le surveillant lui ouvre.

Il s’adresserait au surveillant placé à l’extérieur du promenoir, dans le cas où il aurait quelque chose d’urgent à demander.

Toute infraction à ces prescriptions sera punie conformément aux règlements.

état des objets composant le mobilier de la cellule d’un détenu valide
Un hamac.
Un matelas de laine et crin.
Couverture de laine beige (deux en hiver, une en été).
Deux draps de toile, d’un lé.
Une table à tiroir.
Une gamelle de fer battu, étamé.
Un bidon de fer battu, étamé.
Un gobelet de fer battu, étamé.
Une cuiller de bois.
Une terrine pour la toilette.
Un génieux-crachoir.
Un balai de chiendent.
Un balai de bouleau.
Trois tablettes de bois blanc.
Le Directeur.
règles à observer par le détenu placé dans cette cellule

Il est expressément défendu de chanter, de parler à haute voix ou de chercher à établir des communications avec les autres détenus, soit dans la maison, soit au promenoir.

Le détenu doit tenir sa cellule constamment propre et ne faire aucune inscription, ni dessin sur les murs, sous peine de punition.

Il lui est expressément recommandé de ne faire aucune dégradation dans sa cellule, ni aux livres et objets mobiliers et de literie qui lui sont confiés ; en cas d’infraction, le détenu, outre la punition qu’il encourra, sera rendu responsable des dégâts,

Il doit tenir dans la plus grande propreté le siège et la cuvette du conduit d’aisances et n’y jeter que l’eau absolument nécessaire au maintien de la propreté.

Pour assurer l’aération de la cellule et enlever toute mauvaise odeur, il faut, lorsque la fenêtre est ouverte, boucher l’orifice du siège d’aisances à