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Page:Morville - Bijou du Parnasse, 1670.pdf/140

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132 Bijou du Parnaffe.. crût que la douleur d’Iris diminüroit s’il la pouvoit obliger à luy dire tout ce qu’elle avoit sur le cœur : Et pour l’engager à ce funeste dif cours, il s’assit auprés d’Elle, & prenant une de ses mains entre les siennes, Quoy : luy dit-il, d’un air qui marquoit la part qu’il prenoit à sa tristesse, ne me voulez-vous point apprendre quel accidant a fait perdre la vie à voftre petit Oyfeau. aslation Croyez-vous que mon cœur sensible à voftre peine, Refufe des soupirs à son malheureux fort, Ha ! Bergere, soyez certaine, Que je fuis plus que vous affligé par sa mort.