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Page:Motte - Celide - vol 1.djvu/115

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les mêmes yeux que vous : c’eſt-à-dire, avec des yeux prévenus : mais quand, il ſerait vrai, qu’elle aurait tout ce que votre paſſion lui prête, conſentirait-il qu’un fils unique, en qui il a mis ſes plus cheres eſpérances, dérangeât les projets d’alliance, qu’il a peut-être déja formés pour l’accroiſſement de ſa grandeur, pour une fille, d’une naiſſance, il eſt vrai, preſque auſſi illuſtre que la ſienne ; mais à laquelle ſa fortune ne répond pas : & vous-même, Marquis, il viendra un jour, qui peut-etre n’eſt pas bien éloigné, où vous ne vous ſouviendrez plus de cette Célide…… — Ah ! arrêtez :