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Page:Motte - Celide - vol 1.djvu/12

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de moi-même ! que ne puis-je !… Ah ! qu’il eſt cruel pour moi de mettre ſi peu d’énergie dans mes expreſſions ! de ſentir tout de feu, & de peindre tout de glace ! Mais, je le répète encore ; il faudrait votre nom : ne pouvant le dire, je dois donc me taire ; & me renfermer dans le profond reſpect avec lequel j’ai l’honneur d’être,

Monseigneur,

Votre très-humble
& très-obéiſſante
ſervante,
M****