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Page:Motte - Celide - vol 1.djvu/158

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en auriez inſtruit des perſonnes, qui, après ce qu’elles vous doivent ne peuvent manquer de s’y intéreſſer beaucoup ; car ne croyez pas que les obligations que je vous ai, puiſſent jamais ſortir de ma mémoire ; non, Monſieur, non : elles y reſteront gravées éternellement : ſoyez-en bien perſuadé, je vous prie, & ne doutez pas de la reconnaiſſance avec laquelle je ſuis,

Monſieur,
Votre, &c.

Après avoir fait cette lettre, elle fut la montrer au Comte, qui, après en avoir pris lecture,