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Page:Motte - Celide - vol 1.djvu/7

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À MONSEIGNEUR DE A.B.E.E.E.H.L.M.R.S.S.

Monseigneur,

Entraînée par la vivacité de l’admiration que vous avez fait naître dans mon ame ; par ce ſentiment qui m’eſt commun avec tous ceux qui ſavent penſer ; j’oſe, ſous le voile qui dérobera ſans doute à tous les mortels & à vous-même, Monſeigneur, la connaiſſance de ma témérité ; j’oſe faire hommage au plus grand des hommes, des pré-