Aller au contenu

Page:Motte - Celide - vol 1.djvu/99

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

à *** : il l’inſtruiſit de l’accident qui lui était arrivé : & dans cette lettre, il en inſéra une pour ſon pere, avec priere au Chevalier de Seminille, (c’eſt le nom de cet ami, dont il ſera parlé dans la ſuite,) de la mettre à la poſte, ſans faire ſavoir au Duc ſon état, afin qu’en recevant de ſes nouvelles, par lui, & de l’endroit où il le croyait, il ne ſut pas ce qu’il voulait lui cacher, dans la crainte de lui cauſer de l’inquiétude ; il l’ignora effectivement par cette voie, juſqu’à ce que le Marquis le lui apprit lui-même, comme on le verra dans le cours de cette hiſtoire.

Au bout de deux mois de Bliville put ſe promener