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MADELON.
Y a donc encore quéque chose ?
GUIGNOL.
Oui ; y a que, par son testament, l’oncle veut que je fasse réparer dans les vingt-quatre heures le cadre de son potrait ; sinon, j’y perds tous mes droits.
MADELON.
Et c’est pour ça que te me demandes mes quarante-huit sous ?… Oui, prends garde de les perdre. Qué que ça me fait ce potrait ?
Scène XI.
les mêmes, GUILLAUME, apportant le portrait.
GUILLAUME.
Voilà votre lot !… Vous êtes bien contents, n’est-ce pas ? Ah ! ah ! ah ! Il est joli !
GUIGNOL, prenant le portrait.
Regarde donc, Madelon, comme il ressemble ! comme c’est bien lui, avec sa lévite… & son nez !…
MADELON.
Oui, le bel héritage ! C’est pas avec ça que nous marierons notre Louison ?