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GUILLAUME.
Oh ! c’est que j’avais pensé… Tu m’avais dit un mot toi-même… Mon Claude est un beau garçon…
GUIGNOL.
Oui… pas mal.
GUILLAUME.
Il est bon enfant tout à fait… il est à son ouvrage… Nous devrions les marier, ces enfants.
GUIGNOL.
Qu’est-ce que te donnes à ton garçon ?
GUILLAUME.
Je lui donne cinq mille francs en le mariant, & plus tard il aura la suite de mon commerce.
GUIGNOL.
Tout ça c’est de la rafataille !… Te ne sais donc pas que je donne à Louison en la mariant quinze mille francs… rien que ça, vieux !… Ton Claude peut pas me convenir.
GUILLAUME.
Mais tu m’as dis toi-même que ces enfants se convenaient, qu’ils se parlaient.
GUIGNOL.
Bah ! est-ce que les parents doivent faire attention à