Page:Mourguet - Théatre lyonnais de Guignol, tome 2.djvu/244

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m’en aller… Ah ! j’ai pus faim à présent ; ça m’a nourri de voir ce jus de réglisse noir. Pourvu que nous la rencontrions pas.

ALFRED.

Viens donc vite, bavard.

Au moment où ils sortent, ils sont arrêtés par le comte.

Scène X.

LES MÊMES, LE COMTE.
LE COMTE.

Où allez-vous, Monsieur de Sénanges ? C’est de ce côté que nous vous attendons pour la cérémonie.

ALFRED.

Mais, Monsieur le comte.

LE COMTE.

Hésiteriez-vous, Monsieur ? Il est trop tard ; j’ai votre parole… D’ailleurs, tout le monde m’obéit ici. (Il l’entraîne.) Venez recevoir la main de ma fille. (Ils sortent.)


Scène XI.

GUIGNOL, seul.

Allons, v’là mon pauv’ maître sacrifié. Il va donner