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Page:Mugnier - Les Savoyards en Angleterre au XIIIe siècle et Pierre d’Aigueblanche évêque d’Héreford.djvu/205

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voie, pour la guerre contre Simon de Montfort, 1265 (Wurstemberger ; page 336).

De Mont ou des Monts, nobles vaudois (Voir le Régeste genevois). Ebal de Mont; en 1254, le roi porte de 25 marcs à 50 la rente qu’il lui a accordée ; d’autre part, la reine et son fils Édouard lui inféodent, la même année, le manoir de Putteney. Il est le 12 mai 1259, à Londres, appelé comme témoin au testament d’Ebal de Genève.

Rodolphe de Mont, chanoine de Lausanne en 1267 (Rêg. gen., n° 1017). Henri III lui accorde, le 4 septembre 1254, un canonicat au chapitre de Saint-Martin de Londres.

On trouve encore Bernard de Mont, homme d’armes en 1254, et Pierre des Monts, médecin (physicus) de Pierre de Savoie en 1242. Henri III prescrit de lui donner le premier bénéfice ecclésiastique de 30 marcs qui sera vacant ; et, vu l’affection qu’il porte à son oncle Pierre et à la prière de Jean Mansel que Pierre des Monts soigné aussi, il ordonne que le médecin soit préféré à tout autre lors de la vacance du bénéfice.

MoNTFORT, nom très répandu. En dehors du célèbre Simon de Montfort, comte de Leicester et de ses fils, les Rôles Gascons indiquent un chevalier, ou simple homme d’armes, appelé Pierre de Montfort, qui pourrait bien être de la famille de